Vous l’avez sans doute vu passer sur nos réseaux sociaux, Takoma a participé au challenge Ma Petite Planète pendant l’édition d’hiver 2022. C’est l’occasion pour nous de revenir sur ces trois semaines et d’en voir les effets.

Pourquoi avoir participé à un tel challenge ?

Takoma s’engage depuis plusieurs années dans une démarche responsable qui s’accélère dernièrement avec la mise en place d’une stratégie RSE et de nombreux ateliers de sensibilisation auprès de ses collaborateurs. C’est dans ce cadre que nous avons proposé aux collaborateurs de participer à Ma Petite Planète. Ce challenge propose aux participants de réaliser une soixantaine de défis pour l’environnement et d’éviter une vingtaine d’actions qui lui sont nuisibles pendant 3 semaines. Pour la majorité des défis, une preuve (texte, photo…) doit être publiée dans une conversation entre participants. Chaque défi permet de gagner des points donnant lieu à des classements individuel et collectif.

On peut néanmoins se demander si un tel challenge a sa place en entreprise et si les actions réalisées ont un vrai impact environnemental. C’est ce que nous allons voir dans cet article.

Des points positifs : une forte participation, plus d’échanges…

Pour commencer, il faut préciser que la participation au challenge était facultative et que les collaborateurs devaient s’y inscrire. Le premier signal a été très positif : avec des inscriptions beaucoup plus nombreuses que prévu. Au final, 38 personnes étaient présentes sur la ligne de départ, soit plus d’1 collaborateur Takoma sur 5 ! Un vrai intérêt interne pour cette initiative.

Très vite, de nombreux échanges entre les collaborateurs ont eu lieu en accomplissant les premiers défis. On a tout de suite senti un premier effet 
positif : la mise en relation des équipes. Takoma est une société multi-sites,
avec des collaborateurs répartis en France, et parfois en détachement chez nos clients. Ma Petite Planète a été l’occasion de recréer des échanges informels entre des personnes qui ne se côtoient pas au quotidien. A la fin du challenge tous les participants ont salué ces échanges, notamment les quelques collaborateurs détachés qui étaient heureux de connaître un peu mieux leurs collègues en agence.

Un deuxième effet très positif a été de mettre en lumière les actions de chacun. Il y a de nombreux collaborateurs engagés dans des démarches responsables sur le plan personnel. En partageant les défis accomplis, chacun a pu se rendre compte qu’il n’était pas seul dans sa démarche. On s’en était déjà rendu compte lors de certains ateliers en interne, mais l’effet a été démultiplié : un vrai engouement autour de différentes thématiques environnementales. Chacun découvrant des collègues aussi investis que lui et partageant ses bonnes pratiques. Encore une bonne surprise pour nous : presque 120 défis accomplis collectivement après seulement 4 jours de challenge ! La dynamique était enclenchée.

L’une des vertus principales d’un challenge collectif c’est la motivation. Pour certains, voir la dynamique du groupe a suffi, pour d’autre l’aspect gamification (liste des challenges, classement…) a été un vrai moteur. Au final, de nombreux collaborateurs sont sortis de leur zone de confort et ont découvert de nouvelles actions à mettre en place dans leur quotidien ou se sont essayés à des actions qu’ils n’auraient jamais faites sans Ma Petite Planète.

La nécessité d’accompagner et d’embarquer l’ensemble des participants.

Cependant, on a pu voir une limite avec quelques personnes restées sur la touche. C’est inévitable, chacun ayant des contraintes professionnelles et personnelles non anticipées. Cependant devant la motivation et le départ sur les chapeaux de roues des collaborateurs les plus investis, certains ont senti un décalage et perdu leur motivation. Nous n’avons pas réussi à les accompagner correctement et à leur donner l’impression de participer à la dimension collective du challenge. C’est un axe d’amélioration pour une éventuelle prochaine édition ou pour des actions similaires.

Un résultat encourageant : 782 défis bonus réalisés.

Un beau résultat à la clé avec 782 défis bonus au total sur les 3 semaines, soit 23 en moyenne par participant. Et on ne s’est pas contentés de la quantité : certains collaborateurs ont validé les défis les plus compliqués (3 semaines sans viande, venir au travail à vélo, semaine sans café ou chocolat…), bravo à eux !

Enfin le challenge maintient la dynamique en cours avec les actions de sensibilisation déjà mises en place telles que les fresques du climat et les ateliers « Tak’Climat » conçus spécialement en interne. Cet investissement fait sens avec la mise en place de notre stratégie RSE et l’établissement de notre Bilan Carbone.

Pour conclure : rendez-vous en juin pour la prochain édition !

Le bilan global est donc très positif, on a pu recenser de nombreux impacts. Les équipes Takoma se positionnent à la 87^e et 131^e place (sur 577) : un super score pour nous. Que les participants au challenge continuent ou pas les actions mises en place durant ce défi, une dynamique positive est en place. De plus, nombreux sont ceux qui souhaitent participer aux prochaines éditions, plusieurs semaines d’actions positives par an ne sont pas négligeables que ce soit du point de vue des actions et des prises de conscience.

Ce n’est que notre première édition, des améliorations sont nécessaires : il sera important d’embarquer avec le groupe les collaborateurs motivés et moins impliqués. On a déjà quelques idées pour ça, et pour améliorer notre score. Rendez-vous en juin pour la prochaine édition !